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10 juin 2017

Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca

James Morin, un cowboy du Témiscamingue

©TC Media/Jean-François Vachon

Depuis six ans, le Témiscamien James Morin court les rodéos. Non pas pour assister, mais pour aller à la recherche d’une bonne dose d’adrénaline. Véritable cowboy, il était présent à La Sarre pour participer aux différentes épreuves.

©TC Media/Jean-François Vachon

Originaire de Laverlochère, James Morin participe à des rodéos depuis 6 ans aux quatre coins du Québec et de l'Ontario.

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Originaire de Laverlochère, James Morin participe à des rodéos depuis 6 ans aux quatre coins du Québec et de l'Ontario.

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Originaire de Laverlochère, James Morin participe à des rodéos depuis 6 ans aux quatre coins du Québec et de l'Ontario.

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Originaire de Laverlochère, James Morin participe à des rodéos depuis 6 ans aux quatre coins du Québec et de l'Ontario.

©TC Media/Jean-François Vachon

Originaire de Laverlochère, James Morin participe à des rodéos depuis 6 ans aux quatre coins du Québec et de l'Ontario.

«Être en région, c’est vraiment trippant. Depuis six ans qu’on se promène. On fait des 8, 10 heures de route au Québec et j’ai amélioré mon anglais en allant en Ontario. C’est plaisant de voir l’intérêt en région», a souligné l’homme originaire de Laverlochère.

Je ne sais pas comment l’expliquer. Il n’y a pas de mots à ça, c’est indescriptible -James Morin

Celui-ci participait à deux épreuves. Dans la première, il a monté un cheval sans selle alors que la deuxième, il s’agissait d’un taureau. «Le cheval est plus dur sur le dos que le taureau», a-t-il expliqué.

Pour apprendre à participer au rodéo, James Morin s’est rendu à l’école du rodéo de St-Tite. «J’ai commencé là parce que je voulais l’apprendre de professionnels et comme il faut», a-t-il évoqué.

L’adrénaline

Lorsqu’il se retrouve sur une des bêtes, James Morin décrit cela comme «un trip d’adrénaline comme il n’y en a dans aucun autre sport».

«Je ne sais pas comment l’expliquer. Il n’y a pas de mots à ça, c’est indescriptible. Sauter en parachute, ce n’est rien à côté de ça. Quand j’embarque, c’est l’instinct de survie qui embarque. Il peut arriver n'importe quoi», a-t-il confié.

Lorsque la cage ouvre, il n’y a pas vraiment de temps pour réfléchir. «Tu vois noir. Tu ne sais pas ce qui se passe. Tu ne comprends pas ce qui s’est passé parce que tu es déjà à terre», a-t-il expliqué.

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