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30 mai 2017

Lucie Charest - lcharest@medialo.ca

Claire Bolduc annonce ses couleurs pour la préfecture du Témiscamingue

©TC Media - Lucie Charest

«Plus que jamais, la vision territoriale, la solidarité et le respect des communautés sont nécessaires», lance d’entrée de jeu, Claire Bolduc, dans le communiqué annonçant sa candidature au poste de préfet de la MRC de Témiscamingue.

«J’ai envie de mettre à contribution ce bagage d’expérience acquis au fil des ans et de participer activement aux changements nécessaires pour la vitalité du Témiscamingue», indique celle qui avoue avoir été sollicitée par plusieurs partis politiques. «C’est au niveau municipal et territorial qu’il est davantage possible de poser des gestes qui auront un impact immédiat pour la qualité de vie des citoyens, a-t-elle poursuivi. Je préfère porter une voix forte pour ma région auprès de tous les paliers des différents gouvernements.»
Reçue chevalière de l’Ordre du mérite national en juin 2013, les honneurs et implications de l’ex présidente de Solidarité rurale ne se comptent plus. Récemment membre du collectif «Faut qu’on se parle» et co-auteure du livre «Ne renonçons à rien!», elle a également été présidente de l’Ordre des agronomes du Québec. Elle est copropriétaire d’un vignoble à Duhamel-Ouest avec son conjoint Richard Dessureault.
Sa décision semble avoir été mûrement réfléchie de même que son annonce planifiée au quart de tour. À peine deux heures après avoir expédié le communiqué aux journalistes, son équipe lançait la page Facebook «Claire Bolduc, candidate préfecture MRC du Témiscamingue».
Pas de recette magique
D’une certaine manière, Claire Bolduc envisage la préfecture à l’image des réalisations qui ont marqué son parcours des trois dernières décennies. Si elle est élue, elle n’entend pas arriver avec ses gros sabots et remettre en question ce qui a déjà été fait. «Être à la préfecture, ce n’est pas une recette de Sœur Berthe, je pense d’abord être à l’écoute, redonner à chacun la confiance d’agir avec ses propres moyens, a-t-elle indiqué. Il faut miser sur la capacité de gérer l’équilibre entre les différentes positions, sur la capacité de rassembler, de se concerter, de se solidariser.»

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