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21 mars 2017

Des agents de sécurité privés à la Polyno de La Sarre

©Photo Depositphotos – Imel900

La Polyno de La Sarre mènera un projet pilote afin d’évaluer l’utilisation d’une firme de sécurité privée pour assurer la surveillance des élèves lors de leurs pauses.

Au niveau de la Commission scolaire du Lac-Abitibi (CSLA), le projet pilote se fera uniquement à la Polyno. «D’autres polyvalentes de la province utilisent cette méthode, a expliqué Marco Fournier, directeur des ressources humaines à la CSLA. On a donc profité d’un départ à la retraite pour explorer cette avenue.»
C’est l’entreprise GardaWorld qui va assurer la surveillance des étudiants. «Ces gens-là sont des professionnels formés et qui peuvent s’adapter à nos horaires, a indiqué M. Fournier. Ce qu’il faut comprendre c’est qu’on a quatre surveillantes environ une heure et demie par jour, ça coupe leur journée en deux, ce qui rend le recrutement difficile.»

Championnat provincial de cheerleading

Pour la première fois depuis quelques années, l’équipe de basketball de la Polyno de La Sarre ne s’est pas qualifiée pour le championnat provincial. Par contre, l’équipe de cheerleading a surpris tout le monde en terminant au deuxième rang, se qualifiant ainsi pour le championnat provincial. «On ne s’attendait pas à cela alors on n’avait pas prévu de budget pour ça alors on doit trouver du financement pour le voyage», a affirmé Isabelle Godbout, directrice générale de la CSLA.

Faible taux de violence

La direction de la CSLA a présenté son bilan annuel pour l’année scolaire 2015-16 lors de la séance des commissaires du mois de mars. On y a entre autres appris que le nombre d’incidents violents était très bas. «On peut affirmer que la violence n’est pas un problème au sein de notre commission scolaire, a affirmé Isabelle Godbout. On a des plans d’action contre la violence dans chacune de nos écoles et on a des beaux projets pour encadrer les élèves.»
Mais il est très difficile d’enrayer complètement la violence. «C’est surtout difficile dans des secteurs plus problématiques au niveau des problèmes d’adaptation, a expliqué la directrice générale. On remarque que la majorité des événements répertoriés proviennent de la même clientèle et d’étudiants spécifiques.»
Les événements les plus fréquents sont des actes de violence physique, l’intimidation n’est pas une problématique répandue au niveau de la CSLA.

Taux de diplomation en hausse

Le taux de diplomation au niveau de la CSLA a augmenté de 8,4 % sur une période de cinq ans. «On est maintenant parmi les meilleurs de la région, on s’approche même de la moyenne provinciale», a expliqué Isabelle Godbout.

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