26 mars 2018

Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca

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©La Frontière/Jean-François Vachon

Sous la plume du journaliste Jérôme Gaudreau de La Tribune, Félix Robert a fait savoir ce qu’il pensait des Huskies. «Quand leurs joueurs disent qu’ils ont gagné la guerre psychologique durant les arrêts de jeu, ce n’est pas vrai. Ils tremblaient à la fin de la partie quand le jeu s’est animé», a-t-il indiqué.

Les Huskies tremblaient à la fin de la partie quand le jeu s’est animé -Félix Robert

Mathieu Olivier a aussi ajouté son grain de sel dans l’article du quotidien sherbrookois. «Les Huskies forment une équipe qui recule quand vient le temps de faire ce qu’il faut faire. Ils reculent en espérant que les arbitres chassent nos joueurs. S’ils font encore ça, on continuera à jouer au hockey de séries sans tomber dans leur trappe. On les laissera faire leurs coups sournois. De notre côté, on sait que personne ne recule. On a une équipe prête à se salir le nez», a-t-il évoqué.

Silence profond chez les Huskies

Rejoint alors que l’équipe est en direction de Sherbrooke, le pilote des Huskies Gilles Bouchard cherchait à comprendre. «Je ne peux pas faire de commentaires quand je ne comprends pas pourquoi ils ont dit ça. La meilleure réponse, c’est un silence profond», a-t-il expliqué.

Pour la meute, la recette du succès demeurera la même à Sherbrooke. «On va se concentrer sur nous et à jouer la Husky game à Sherbrooke», a-t-il évoqué.