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11 février 2018

Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca

Sacha Bergeron croit aux chances d’Alex Harvey

©La Frontière/Jean-François Vachon

Sacha Bergeron a été farteur pour Alex Harvey depuis belle lurette. Il a vécu à ses côtés toute une gamme d’émotions. Si le Rouynorandien ne sera pas à PyeongChang, il sera cependant aux premières loges de toutes les épreuves d’Alex Harvey.

«Pour moi, aller à PyeongChang aurait permis de boucler la boucle avec Alex Harvey. J’ai vu ses premières médailles à Tarvisio et à Malles au Championnat du monde junior. Quand il est devenu champion du monde au sprint par équipe avec Devon Kershaw, j’étais là. J’ai tout vécu avec lui. Le seul truc qu’il manque, c’est la médaille olympique», a-t-il confié.

Il est hors de question que je me lève le lendemain matin pour apprendre qu’il a gagné une médaille. S’il en a remporté une, je veux le voir quand il va passer la ligne d’arrivée -Sacha Bergeron

Et pour voir cela arriver, ça veut dire rester debout durant la nuit pour assister aux différentes épreuves en raison du décalage horaire. «Il est hors de question que je me lève le lendemain matin pour apprendre qu’il a gagné une médaille. S’il en a remporté une, je veux le voir quand il va passer la ligne d’arrivée», a-t-il lancé.

L’année Harvey

Sacha Bergeron n’a aucun doute que la médaille olympique est possible. «Ça reste que c’est les Olympiques. La médaille n’est pas dans la poche, mais j’y crois. Autant au relais qu’au sprint par équipe, les gars sont à l’affût. Ils sont prêts pour ça. Ce n’est pas une expérience qu’ils vont vivre, c’est quelque chose qu’ils vont chercher», a-t-il expliqué.

Cette saison, le fondeur canadien s’est illustré sur la scène mondiale, où il a notamment remporté l’épreuve du 50 kilomètres départ groupé style libre.

«Ça paraissait sur son visage qu’il mettait cartes sur table. De ce que je vois depuis le début de saison, il a appris de Sotchi et de Vancouver, a soutenu Sacha Bergeron. «Je ne l’ai jamais vu skier comme il le fait cette année. La façon dont il a monté l’Alpe Cermis à Val di Flemme en Italie était incroyable. Il a souvent fait l’impasse sur cette course-là en raison de ses artères iliaques. Pour qu’il soit en mesure de le faire, les planètes étaient extrêmement bien alignées. C’était phénoménal.»

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