15 janvier 2018

Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca

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©La Frontière/Jean-François Vachon

«On a des températures froides à toutes les années tellement qu’on se dit que le bon Dieu n’est pas avec nous. Mais le monde vienne. C’est notre adrénaline», a fait valoir le président de l’évènement Marc Sylvestre.

On a des températures froides à toutes les années tellement qu’on se dit que le bon Dieu n’est pas avec nous. Mais le monde vienne. C’est notre adrénaline -Marc Sylvestre

Il faut dire que l’évènement était attendu. Il s’agissait de la première course de l’année sur le circuit de la Canadian Snowcross Racing Association (CSRA). «Ce qui est intéressant, c’est qu’on a des appels de coureurs qui veulent venir ici à toutes les années. On a une qualité de neige et un site exceptionnel. C’est ce qui est plaisant, autant pour les coureurs que les spectateurs», a souligné Marc Sylvestre.

Créer un happening

Après huit ans, deux des trois membres fondateurs sont toujours présents. Marc Sylvestre avait été convaincu par Jean-Pierre Roux et Ronald Cantin de s’impliquer au sein de l’évènement. «Je suis un gars de motoneige de bois. J’aime les moteurs, je suis un gars de moteur. Ça ne me faisait pas peur de m’impliquer dans l’organisateur du snowcross», a-t-il souligné.

Il rêve que la fin de semaine du GrandPrix international de snowcross devienne la fête de la motoneige à Rouyn-Noranda. «Mon but, à moi, quand on a commencé l’évènement, c’était de créer un happening à Rouyn-Noranda. J’aimerais que des gens organisent des spectacles, qu’on profite de la visite qui vient ici», a-t-il souligné.

Le rêve

Le président du GrandPrix international de snowcross aimerait ajouter une facette à son évènement. «La course de personnalité attire un autre public. On travaille pour varier les choses. J’aimerai qu’on puisse avoir un spectacle de freestyle en soirée, mais c’est un bon montant d’argent.»