12 mars 2018

Lucie Charest - lcharest@medialo.ca

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©Gracieuseté

«Une centaine de personnes dans la population, plus 1476 élèves, avaient participé, a relaté Jonathan Jensen-Lynch, directeur général de l’Association des projets éducatifs du Témiscamingue (APET). Notre but était et demeure de sensibiliser les gens à un français de qualité, à la persévérance scolaire et à l’alphabétisation. Ça avait bien fonctionné. Pour une deuxième fois, nous tenons l’événement durant la Semaine de la francophonie pour ces raisons.»
Une invitation formelle sera lancée par la poste dans chaque foyer témiscamien durant la semaine du 12 mars. La première Grande dictée témiscamienne avait porté sur l’incendie de l’église de Saint-Eugène-de-Guigues qui, rappelons-le, avait marqué l’imaginaire de tout un chacun en mars 2014.

La Maison des jeunes mise à contribution
Comme lors de la première édition, le conteur Guillaume Beaulieu assumera la rédaction de la dictée et en fera la lecture avec le charisme qu’on lui connaît si bien. Toutefois, pour la deuxième édition, le texte s’articulera autour d’une anecdote rapportée par un jeune qui fréquente la Maison des jeunes du Témiscamingue.
«Nous avons invité ces jeunes à recueillir des anecdotes cocasses dans leur entourage et à les soumettre pour préparer la dictée, a relaté M. Jensen-Lynch. Celle qu’a proposée Nathan Desrochers Morin, un jeune de Laforce, sortait du lot. Elle était vraiment bien étoffée.» «Elle nous permettra d’en savoir un peu plus sur un village du Témiscamingue», s’est contenté d’indiquer, dans la vidéo de promotion, Guillaume Beaulieu, qui semble souhaiter réserver la surprise aux participants.
Il est à noter que les grands gagnants se partageront des prix totalisant 5000 $.
Pour connaître les 21 différents endroits où la dictée se tiendra, rendez-vous sur la page Facebook de l’Association des projets éducatifs du Témiscamingue (APET).