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17 novembre 2017

Lucie Charest - lcharest@medialo.ca

Ville-Marie devra patienter avant d’accueillir à nouveau Les Régates

©TC Media - Lucie Charest

Les dates proposées par le comité organisateur de la relance des Régates de Ville-Marie, n’ont pas convenu à l’Hydroplane Racing League (HRL) de Valleyfield. Pour Yves Bertrand, porte-parole du comité, la patience reste de mise.

«Les dates qu’ils nous proposaient tombaient soit pendant le Rodéo du camion, soit pendant la Foire gourmande, a-t-il spécifié. Il n’est pas question pour nous de nuire à ces deux événements phares de notre saison en en introduisant un autre événement au même moment.»

©Depositphotos / JOE C TABB

Ces hydroplanes ont toujours l'heur de faire courir les foules.

On ne sait pas ce qui peut arriver. Si jamais une des villes inscrite au circuit se désistait pour une raison ou une autre, nous sommes un peu comme sur une liste d’appel. -Yves Bertrand

Le comité organisateur, formé de sept passionnés de Régates, a reçu une réponse négative de la HRL concernant la saison 2019 le matin du 2 novembre. Le fait que les dates proposées ne concordent pas est décevant, mais le comité ne baisse pas les bras pour autant. «Nous avions préalablement évalué les possibilités et de quelle façon s’inscriraient les régates dans la saison des festivals au Témiscamingue, a poursuivi M. Bertrand. La date la mieux appropriée nous semblait le 20 juillet, mais elle ne leur convenait pas. Par contre, on ne sait pas ce qui peut arriver. Si jamais une des villes inscrite au circuit se désistait pour une raison ou une autre, nous sommes un peu comme sur une liste d’appel.»
Dès que Yves Bertrand avait lancé sur Facebook l’idée d’un retour des Régates à Ville-Marie le printemps dernier, l’enthousiasme avait été immédiat chez les nostalgiques, mais aussi chez les plus jeunes. «Le comité organisateur demeure convaincu que la ville de Ville-Marie, le Témiscamingue, l’Abitibi-Témiscamingue et le Nord-Est ontarien représentent un marché déjà conquis, même nostalgique, pour les courses de bateaux hydroplanes», a conclu M. Bertrand.
 

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