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Nyrstar conserve la mine Langlois
Elle échappe à la vente globale des mines de zinc du groupe
©Nyrstar
Alors que son avenir au sein de Nyrstar était incertain depuis près de deux ans, la mine Langlois de Lebel-sur-Quévillon demeurera finalement au sein du groupe belge.
En janvier 2016, la multinationale avait entamé un processus pour se départir de ses mines de zinc. Au début de novembre 2017, elle s’était ainsi départie de cinq installations en Amérique latine pour un total de 72 M $. Le 16 novembre, Nyrstar a cependant annoncé qu’elle mettait un terme à ces transactions. Elle conservera ainsi les quatre mines qu’elle détient encore en Amérique du Nord, dont Langlois.
«Nous nous attendons à ce que nos opérations minières en Amérique du Nord rapportent des gains considérables d’ici la fin de 2017 et en 2018. Compte tenu de l’anticipation de cette hausse de rendement, nous avons décidé de conserver nos mines nord-américaines», a indiqué le président de Nyrstar, Hilmar Rode, par voie de communiqué.
Langlois sera optimisée
La multinationale belge a par ailleurs annoncé qu’elle déploierait des plans pour optimiser ses quatre mines nord-américaines, désormais considérées comme une partie intégrante de ses opérations.
«Tout le monde ici à Langlois se réjouit de l’annonce, a commenté le directeur général de la mine, Martial Tremblay, dans le même communiqué. Cela confirme que nous disposons maintenant d’un avenir prometteur au sein de Nyrstar. L’assurance que nous avons désormais de pouvoir continuer à faire partie de la famille du deuxième plus important raffineur de zinc au monde constitue certainement un élément très positif à ajouter à nos actifs.»
En mode recrutement
La mine de Lebel-sur-Quévillon est d’ailleurs en mode recrutement pour combler plusieurs postes. Les personnes intéressées peuvent consulter les offres sur le site internet de Nyrstar et envoyer leur candidature au recrutement.langlois@nyrstar.com.
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