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26 août 2017

Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca

Le directeur général de Soccer Québec était en tournée en région

Une visite prendre le pouls des acteurs de la région

©Gracieuseté

Le directeur général de la Fédération de soccer du Québec Stéphane Arsenault était de passage en région dernièrement pour prendre le pouls des membres de la région.

«Je suis heureux d’avoir pu rencontrer les intervenants de la région. L’accueil des gens de l’Abitibi-Témiscamingue est reconnu et il n’a pas fait défaut», a-t-il lancé.

On a un cadre réglementaire, mais on doit être en mesure d’être flexible. Il faut être en mesure de s’adapter à la réalité -Stéphane Arsenault

Sa visite consistait surtout à comprendre la réalité de la région. «Je suis entré en poste en février. Je souhaitais rencontrer les intervenants de chacune des régions dans une tournée provinciale pour comprendre les réalités de la région», a-t-il expliqué.

Trois axes

Trois éléments ont été soulignés durant son passage: l’importance de la communication, de la flexibilité ainsi que le soutien au développement.

«Pour nous, il est important de s’assurer de tenir compte de chacune des régions que nous représentons dans nos décisions. Il faut éviter que les décisions soient prises en considérant seulement la région métropolitaine. Il faut établir des canaux de communication et s’assurer de prendre le temps de se parler, mais aussi de s’écouter», a-t-il expliqué.

Il est aussi conscient que la Fédération de soccer doit faire preuve de flexibilité. «On a un cadre réglementaire, mais on doit être en mesure d’être flexible. Il faut être en mesure de s’adapter à la réalité», a-t-il mentionné.

Il a illustré ce fait simplement. «Des fois, on arrive devant un mur. Si on se base sur les règlements ou ce qui a toujours été fait dans le passé, on va continuer de frapper le mur. Il faut toujours se rappeler pourquoi on est là. On est là pour que la population puisse prendre plaisir à pratiquer le soccer.»

Stéphane Arsenault croit aussi que la Fédération doit aussi aider les régions à développer les bénévoles, que ce soit les arbitres ou les entraîneurs.

Des ententes avec l’Ontario?

Pour aider les jeunes à aller chercher un niveau de compétition intéressant, le directeur général de la Fédération de soccer du Québec estime qu’il est crucial de conclure des ententes avec l’Ontario. «Il y a plusieurs villes qui se comparent entre l’Abitibi-Témiscamingue et le nord-est de l’Ontario. Si on n’a pas la sagesse d’être innovant, on n’aidera pas le développement de nos joueurs», a-t-il soutenu.

«Avec le Tournoi des sélections régionales ou les détections pour Équipe Québec, on donne des opportunités à des jeunes des régions de faire valoir leur talent, mais il faut aussi avoir une vision transversale. Pour moi, une entente avec l’Ontario est un must

Une popularité croissante

La popularité du soccer est aussi grandissante. «Nos jeunes aspirent à devenir des Samuel Piette, des Patrice Bernier, des Anthony Jackson-Hamel. Ce sont des modèles et ils sentent que, s’ils se donnent et s’engagent, ils peuvent avoir l’aspiration de marcher dans leurs traces. Même du côté du soccer féminin, on a de bons modèles», a-t-il souligné.

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