Carrières dans votre région Avis de décèsÉdition Électronique Rabaischocs.com

Recherche

Recherche par terme

Journaliste

Date de parution

_

Catégories

Hockey

Retour

19 août 2017

Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca

Une douzaine de coupures chez les Huskies

©La Frontière/Jean-François Vachon

Le directeur général et entraîneur-chef des Huskies Gilles Bouchard a procédé à sa première vague de coupures. Une douzaine de joueurs ont vu leur séjour prendre fin.

Les produits locaux Tristan Corvec, Thomas Fortier et Charles Désilets ont été retranchés. Cependant, le défenseur valdorien Marc-André Rehel poursuivra son parcours avec la meute pour le moment.

Le gardien Aleck Desrochers et les défenseurs Jean-Christophe Gagné et Mathieu Ferland sont tombés sous le couperet en défensive. Du côté de l’attaque, Gabriel Lévesque et Laurent Bouchard ont été remerciés pour leurs services.

L’attaquant franco-ontarien Samuel Bourdages a été le dernier joueur retranché. «Il y a plusieurs petites choses qui ont affecté cette décision. Il a eu un bon camp, mais, à la fin, on ne pouvait pas lui trouver un poste dans notre alignement», a confié Gilles Bouchard.

Préserver leur admissibilité

Danny-Dio Ciccarello, Shon-Olivier Roy et Samuel Richard ont quitté le camp au terme de la première journée. Ces derniers voulaient préserver leur admissibilité pour la NCAA.

Au final, les Huskies ont conservé 19 joueurs qui étaient présents au Challenge des recrues. «Au début, on pensait à ramener entre 12 et 18 joueurs. On en garde finalement plus. Les matchs de cette semaine seront cruciaux pour plusieurs», a-t-il évoqué.

Possibilité d’être affilié

Certains jeunes ont impressionné Gilles Bouchard. «Il y a la possibilité qu’on essaie d’en garder sur notre liste. Des gars comme Laurent Bouchard et Mathieu Ferland ont vraiment bien faits», a-t-il souligné.

S’asseoir pour réfléchir

Les Huskies ont apprécié leur séjour à Shawinigan. «Ç’a bien été. Cependant, la logistique est plus compliquée et les coûts sont énormes. Ça reste positif comme expérience, mais on devra regarder si c’est la meilleure solution. On a eu des histoires de 48 heures et on n’a pas le temps de vraiment les évaluer comme on l’aurait voulu», a expliqué Gilles Bouchard.

«Néanmoins, je lève mon chapeau à Martin Mondou et à sa gang pour l’organisation qui a été sans tâche», a-t-il ajouté.

Commentaires

Inscrivez votre commentaire

Politique d'utilisation Politique de confidentialité

Agence Web - Caméléon Média