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16 août 2017

Konan Kistabish restera en prison

©TC Media – Anne Blondin

Accusé d’un vol à main armée commis à l’Épicerie Windsor et d’une tentative de vol à main armée au restaurant Chez Morasse au début d’août, Konan Kistabish restera emprisonné pendant le reste des procédures.

L’avocat de Kistabish, Me Daniel Brière-Desfossés, a admis les bris de sursis qui pesaient contre son client. Celui-ci purgeait une sentence dans la communauté de dix mois pour usage négligent d’une arme à feu.

La procureure de la Couronne, Me Émilie Larose, ainsi que l’avocat de la défense ont tous deux suggéré que Konan Kistabish soit maintenu en détention préventive jusqu’à son procès. La suggestion a été entérinée par le juge Claude P. Bigué.

Kistabish a également renoncé à son enquête sur remise en liberté concernant les deux accusations déposées contre lui de vol à main armée à l’Épicerie Windsor et au restaurant Chez Morasse. Des éléments de preuve restaient encore à être acheminer à Me Brière-Desfossés.

En plus de ces deux accusations, dont les faits se seraient produits dans la soirée du 3 au 4 août, Konan Kistabish a aussi proféré une menace de causer la mort ou des lésions à un employé de l’Épicerie Windsor.

Konan Kistabish sera de retour au tribunal le 10 octobre pour la suite des procédures. Advenant un verdict de culpabilité, le Code criminel prévoit une peine minimale obligatoire de cinq ans de détention.

5e comparution

Il s’agissait de la cinquième comparution de l’accusé depuis son arrestation, qui a eu lieu le 4 août. Lors de la première comparution, son avocat était en vacances et revenait le lundi suivant. Me Brière-Desfossés n’avait cependant pas eu le temps de prendre connaissance de la preuve lorsqu’a eu lieu la deuxième comparution.

Le 10 août, les accusations concernant les bris de sursis de Kistabish n’avaient pas encore été déposées. Elles étaient nécessaires pour procéder à l’ensemble du dossier.

Le 15 août, le juge François Paré avait tout simplement remis la comparution de Kistabish au lendemain afin que celui-ci et son avocat puissent s’entendre sur les démarches à prendre concernant les bris de sursis.

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