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07 avril 2017

Un feu de camp mal éteint brûle la remise de sa voisine

Il devra rembourser les dommages

©TC Media - Archives/gracieuseté

La cour d’un immeuble à logement situé en ville n’est pas le meilleur endroit pour faire un feu de camp. Un résident d’Amos l’a appris à ses dépens.

Un jugement aux petites créances de la Cour du Québec a ordonné à Dave Gamache de payer un peu plus de 2500$ à Rollande Roy, alors sa voisine, en raison d’un incendie qui a brûlé les biens de cette dernière, alors entreposés dans sa remise.

Un locataire nous a dit avoir fait un feu de camp dans un vieux drum et qu'il n'a pas éteint son feu avant de partir. Tout porte à croire que des tisons ont été poussés par le vent et auraient mis le feu à l'herbre près de la remise. -Rapport d'incendie signé Guy Béchard

Les faits remontent au 18 juillet 2016, alors que M. Gamache a fait un feu de camp dans la cour d’un édifice à logements. Selon le Rapport d’événement de la Sûreté du Québec cité en cour, le feu aurait été mal éteint à la fin de la soirée et ne respectait pas non plus le règlement municipal concernant les feux à ciel ouvert.

Le Rapport d’incendie rédigé par les pompiers d’Amos est encore plus précis. Il stipule que le feu de camp a été allumé «dans un vieux drum» et que le locataire «n’a pas éteint son feu avant de partir». Selon le Rapport, des tisons ont mis le feu à l’herbe et se sont propagés à la remise.

Ce n’est que le lendemain matin, à 9h43, que les services d’urgence ont été appelés. La remise en bois brûlait alors avec intensité.

En plus des biens de la remise qui font l’objet du présent jugement, l’incendie a endommagé une roulotte et une voiture.

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