Culture
Retour28 mai 2017
Jean-François Vachon - jfvachon@lexismedia.ca
Junior Majeur: c’est dans la boîte
©TC Media/Jean-François Vachon
Le tournage de la partie rouynorandienne du film Junior Majeur est déjà presque terminé. Encore une fois, l’accueil chaleureux de la région aura été souligné par les artisans.
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Les Huskies seront une des équipes vedettes du film Junior Majeur.
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Patrice Robitaille joue le rôle de Coach Lapointe, l'entraîneur-chef des Huskies.
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Le réalisateur Éric Tessier a travaillé d'arrache-pied avec son équipe pour trouver les bons plans.
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La population rouynorandienne a répondu en grand nombre.
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Gaston Therrien a aidé à la conception du volet hockey du film.
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La partie rouynorandienne du tournage de Junior Majeur est maintenant complété. Le film pourrait se retrouver en première lors du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue.
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Pour tourner certaines scènes, l'équipe de production a fait preuve d’ingéniosité.
«Je trouve les gens hyper fins. C’est la première fois que je viens à Rouyn-Noranda. On est vraiment bien accueilli. Il y a une ambiance de hockey», a souligné Patrice Robitaille qui incarne Coach Lapointe, l’entraîneur des Huskies.
Je trouve les gens hyper fins. C’est la première fois que je viens à Rouyn-Noranda. On est vraiment bien accueilli. Il y a une ambiance de hockey -Patrice Robitaille
Pour l’acteur, sortir de Montréal permet de vivre autre chose. «Je touche du bois, mais ça m’est arrivé souvent d’aller travailler ailleurs. On sort de notre quotidien et, le soir, au lieu que tout le monde reparte chez eux, on va manger ensemble. Ça soude l’équipe quand on tourne à l’extérieur de Montréal.»
Le réalisateur Éric Tessier partageait aussi cette opinion. «J’étais venu en 2000 au Festival pour un court métrage, alors je n’étais resté que quelques heures. Là, on passe une semaine, alors ça donne plus le temps de sentir le pouls de la Ville et son accueil.»
Malgré le grand nombre d’activités, la population a répondu en grand nombre. «C’était vraiment une belle surprise de voir la réponse des gens», a précisé le réalisateur.
Un film complexe
Éric Tessier et son équipe de tournage ont dû rivaliser d’audace et de débrouillardise pour réussir à offrir des scènes de hockey de qualité. «J’ai essayé d’apprendre tous les jeux et de les connaître à l’envers et à l’endroit pour bien agencer tout ça. Je pense qu’on a réussi», a-t-il soutenu.
Tourner à l’aréna requiert une certaine logistique. «Les communications sont plus compliquées, mais on réussit à se débrouiller. La complexité est de trouver les bons plans et de tourner les bonnes choses», a indiqué le réalisateur.
Revenir
Le producteur Christian Larouche a mentionné qu’il aimerait présenter son film lors du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. «Ça va être plaisant de revenir montrer le film. De présenter le travail à ceux qui nous ont aidés à le faire est toujours excitant et énervant», a avoué Éric Tessier.
«Ça va être un film très touchant par son thème. On parle beaucoup d’amitié chez de jeunes adultes. On parle de jeunes qui sont en train de devenir des adultes avec tout ce que ça veut dire de complexité et de faire face aux vraies choses. Il y a de très belles valeurs dans le film», a-t-il ajouté.
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