Carrières dans votre région Avis de décèsÉdition Électronique Rabaischocs.com

Recherche

Recherche par terme

Journaliste

Date de parution

_

Catégories

17 juillet 2017

Le volley-ball, un sport peu connu

©depositphotos.com/.shock

La Frontière Étudiante a fait une entrevue avec l’arbitre en chef de l’Association de volley-ball en Abitibi-Témiscamingue, Julie Blanchette.

Par Philippe Dion (École St-Bernard)

Où es-tu née?

À Noranda.

À quel âge as-tu commencé à jouer au volleyball?

À 10 ans.

À quel âge as-tu commencé à arbitrer?

14 ans.

Lors de quel match t’es-tu sentie le plus stressée et pourquoi?

Lors du tournoi où j’ai réussi mon grade niveau 3 parce que ça me permettait d’arbitrer à des niveaux supérieurs.

Pourquoi as-tu commencé à arbitrer?

Parce que c’était un travail adapté à mon horaire d’école et je restais en contact avec le volleyball.

Pourquoi continues-tu d’arbitrer ?

Parce que j’aime encore arbitrer et ça me permet de me dépasser.

Nommes-nous deux règles du volley-ball

Ne pas toucher au filet et il y a six joueurs sur le terrain.

Y a-t- il un regroupement des arbitres de volleyball en Abitibi-Témiscamingue ?

Oui, l’association des arbitres en Abitibi-Témiscamingue ou l’AAVBAT et je suis membre de l’Association provinciale des arbitres de volleyball du Québec (APAVQ).

Que fais-tu en tant qu’arbitre en chef de l’AAVBAT?

Je collabore avec les intervenants des milieux du volleyball en Abitibi afin d’assurer le service d’arbitrage lors des différentes compétitions.

Que fais-tu d’autre que le volleyball dans la vie?

Je travaille pour une compagnie minière.

Fais-tu d’autres sports à part le volleyball?

Oui, du soccer intérieur et extérieur.

Est-ce-que le volleyball te fait voyager?

Oui, à travers le Québec mais principalement en région.

Commentaires

Inscrivez votre commentaire

Politique d'utilisation Politique de confidentialité

Agence Web - Caméléon Média