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09 janvier 2017

Lucie Charest - lcharest@medialo.ca

Flebus ne briguera pas un 3e mandat à la mairie de Ville-Marie

La préfecture ferait partie des options qui méritent réflexion

©TC Media - Lucie Charest / Archives

Bernard Flebus a choisi de ne pas briguer un 3e mandat à la mairie de Ville-Marie. Ses réflexions portent présentement sur son avenir en politique, et un projet d’affaires en agroalimentaire.

«Pour la mairie, ma décision est vraiment prise, j’avais dit dès le départ que deux mandats me semblaient suffisants pour amener un air de changement, a-t-il rappelé. D’une certaine façon, je suis plutôt satisfait des réalisations que nous avons menées à terme au cours de ces deux mandats.»

La préfecture pourrait faire partie des possibilités, mais vraiment au conditionnel. Ce n’est pas forcément ma cible pour 2017. Mais cela fait quand même partie des options qui méritent réflexion. -Bernard Flebus

Alors qu’il était passé à son bureau à la ville de Ville-Marie, pendant le congé des Fêtes pour mettre un peu d’ordre dans ses papiers, il est tombé sur les dépliants contenant son programme électoral. «Ça m’a touché de voir qu’on avait réalisé autour de 80 % de nos objectifs du premier mandat, et le second s’en vient bien, s’est-il réjoui. Une des choses dont je suis particulièrement fier, est le rayonnement de Ville-Marie.»

Par contre, ce constat lui aura rappelé par la même occasion à quel point l’appareil municipal, malgré qu’il soit le gouvernement le plus près de la population, est une machine lourde à faire bouger. «Il peut y avoir un très long délai entre une idée et sa réalisation. La Régie municipale en sécurité incendie aura mis cinq ans à se concrétiser», a-t-il cité en exemple.

Avenir politique

Une fois la décision de ne pas revenir à la mairie prise, Flebus avoue avoir d’autres projets tant d’ordre privés que politiques. «Je suis un entrepreneur, j’ai toujours nourri une passion pour l’agroalimentaire, mais j’ai aussi une passion pour la politique qui pourrait se situer à différents paliers», a-t-il admis. De là à confirmer les rumeurs qui lui attribuent des visées sur la préfecture du Témiscamingue, il semble y avoir encore un grand pas à franchir.

«J’y pense, j’ai reçu plusieurs propositions à différents niveaux politiques, je suis un passionné, a-t-il avoué. La politique est une tribune pour défendre les intérêts des gens, mais je ne peux pas en dire plus. La préfecture pourrait faire partie des possibilités, mais vraiment au conditionnel. Ce n’est pas forcément ma cible pour 2017. Mais cela fait quand même partie des options qui méritent réflexion.»

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